Suivre les signes

 

Fais-tu attention aux signes? Genre quand la vie t’envoie un indice, le prends-tu au sérieux ou tu doutes encore?

Je te pose cette question parce que j’ai rencontré une femme incroyable la semaine dernière dont toute la vie est guidée par ces signes.

 

Mais attends, ce qui est encore plus étonnant, c’est que son aventure commence alors qu’elle est encore toute jeune.

Genre à 19 ans :

Elle écrit un livre qui parle de confiance en soi, de réalisation personnelle et d’amour. Et le publie.

Démarre une série de conférences dans les écoles ou elle s’adresse à des jeunes filles.

Deviens coach de vie certifié.

Lance sa propre entreprise. Une chaine YouTube. Et en très peu de temps, touchent des centaines de milliers de personnes dans le monde.

 

Juste ces 4 points que je viens de te citer demanderaient à la majorité d’entre nous presque une vie entière à développer notre courage, effacer nos doutes et gagner en discipline.

Et pourtant, comme elle le dit : « J’écoute cette voix en moi et je suis les indices. »

Voilà, c’est tout. Aussi simple que ça.

 

C’est pourquoi Alexandra Villarroel Abrego est une RebelleModèle. Par son exemple, elle nous démontre bien que l’expérience nous la portons déjà en nous. Il nous faut donc simplement nous abandonner à la vie et suivre les indices.

 

Du coup, s’il t’arrive encore de douter parce que tu penses être trop jeune, pas assez d’expérience, de contact ou de ressource pour réaliser ton rêve alors clique sur la capsule juste en dessous. Dans cette entrevue, Alexandra te montre comment suivre les signes que la vie t’envoie.

 

 

Pour rester en contact avec Alexandra, son site web : http://www.alexandravillarroel.com

Maintenant, c’est à toi de jouer avec le défi d’Alexandra.

1. Lance-toi, prends cette décision.

2. Pour valider que ta décision est la bonne, demande-toi si ta décision est motivée par l’amour ou la peur?

3. La différence? Une décision motivée par l’amour te donne la paix d’esprit.

 

Laisse un commentaire pour partager tes découvertes.

 

Avec d’amour,

 

Henriette