3 FAUSSES CROYANCES RÉPANDUES SUR LA CRÉATION DE CONTENU

Tu sais quoi ?

 

Tu n’es pas une usine à produire du contenu !

 

Et ouais, en tant qu’entrepreneure, ton but n’est pas de passer tes journées enchaînée à ton ordi à produire du contenu encore et encore, et encore…

Sinon, autant redevenir une employée, au moins t’auras des horaires fixes.

 

T’es pas d’accord ?

 

Moi, mon objectif, c’est justement de t’aider à te libérer de tout ça pour vivre la vie dont tu rêves, avec des revenus réguliers et du temps libre pour faire ce que tu aimes.

 

Qu’on s’entende bien, la création du contenu est hyper importante pour ton entreprise.

Mais dans ce domaine, je constate régulièrement que les fausses croyances ont la peau dure.

 

Voici les plus répandues :

 

  1. Plus de contenu = plus de valeur

Non ! Ce n’est pas la quantité de contenu qui donne de la valeur.

La seule chose qui compte, c’est LA solution que tu apportes à ton prospect.

 

  1. Plus tu es populaire = plus tu fais de revenus

Non, non et non ! Une énorme communauté ne te garantit en aucun cas des revenus.

Ce qui fait rentrer l’argent, c’est ta stratégie et ton processus, un tunnel de vente automatisé, par exemple, avec un contenu véritablement adapté à ta cible.

 

  1. Ton contenu gratuit va asseoir ta crédibilité et créer la confiance

Et re non !

La crédibilité et la confiance s’instaurent grâce au lien émotionnel que tu parviens à créer.

Pour ça, tu mets en place un plan de communication adaptée à ta personnalité.

 

Dis-moi, ça te semble plus clair ?

 

Alors libère-toi de ces fausses croyances pour créer du contenu uniquement quand tu es inspirée et que tu en as envie.

 

Crois-moi, la qualité de ton contenu sera vraiment au top.

 

Pour que ce soit bien clair, j’ai fait une vidéo plus détaillée. Clique ici pour la regarder.

 

À présent, dis-moi : Combien de temps passes-tu chaque semaine à créer du contenu ?

Et comment pourrais-tu réduire ce temps de travail pour te consacrer à d’autres activités ?

Dis-moi ça en commentaire qu’on discute 🙂

Avec un océan d’amour,

Henriette