Argent, succès, visibilité en étant toi.

 

« Je crois fondamentalement que : être toi suffit. Et que tu as absolument tout ce qu’il faut pour atteindre TA version de la réussite ». C’est son message, elle l’incarne, le démontre et le vit à fond.

J’ai fait une entrevue avec une femme qui me fait l’effet d’un oignon… Tu sais, avec plusieurs couches. Genre plus je creuse et plus j’en découvre sur elle.

Elle bouge vite, a déjà changé trois fois sa marque et a comme objectif ambitieux d’atteindre le million d’euros de chiffre d’affaires en 2017.

Hé tu sais, quand j’observe son travail, entourée de sa petite équipe de 8 fabuleuses nanas, elle est bien partie pour l’atteindre ou en tout cas, s’en rapprocher.

Cette femme, c’est Lyvia Cairo, auteure, conférencière et libératrice du FEU !

Elle a une communauté en ligne qui compte près de 10000 personnes. Son message s’adresse aux femmes qui comme elle, sont ambitieuses et ont des rêves de grandeurs.

Des femmes qui veulent partager leur message haut et fort et gagner des millions pour changer le monde.

En préparant cet article, je me suis rendu compte que décrire Lyvia n’était pas évident. Genre, je l’ai rencontré il y a un mois et au moment ou j’écris ces mots, ce n’est déjà plus la même personne.

C’est ce que j’aime avec Lyvia. Elle exprime sa vérité, quelle qu’elle soit. Elle n’a pas peur de bousculer ou de choquer.

Elle dit ce qui doit être dit et elle le fait à sa façon et surtout, elle le dit sans filtre.

Alors, je crois que le mieux est de te laisser la découvrir dans cette entrevue de 54min.

En clair, si tu es ambitieuse avec des rêves de grandeurs, clique sur la vidéo ci-dessous et libère ton feu avec Lyvia Cairo.

Pour rejoindre Lyvia sur son site, c’est ICI.

Le livre que j’ai mentionné : « The Automatic Customer » par John Warrillow

Maintenant à toi, dans les commentaires, dis-moi :

  1. Le partage de Lyvia a-t-il rallumé le feu en toi ?
  2. Si oui, de quelle manière ?
  3. Que vas-tu oser à partir de maintenant ?

Laisse un commentaire.

Avec amour,

Henriette