Travailler sans culpabiliser pendant les fêtes
Nous ne sommes plus qu’a quelques jours de Noël.
J’ai d’ailleurs commencé à préparer mon voyage vers Bruxelles pour passer Noël en famille. Tu sais, moi j’adore cette période de l’année, c’est tellement vivant.
Dans mon cas, ça me permet de sortir de ma routine et faire des choses simples qui m’amusent comme le shopping, tu sais… Me faire belle pour les fêtes !
J’adore m’acheter de nouveaux vêtements, jouer à la princesse et changer de look.
Mais pendant l’année, je remets constamment cette activité parce que ce n’est jamais aussi important que de me reposer, me détendre ou travailler.
C’est vrai après tout, je bosse de la maison du coup, la question de la garde-robe, j’ai tendance à la mettre de côté.
Alors merci à Noël, cette fête commerciale, de ramener le jeu et la fête dans ma liste des priorités !
Et toi que vas-tu faire pour Noël ? Vas-tu prendre un break pour célébrer en famille ou vas-tu travailler ?
Sincèrement, il n’y a pas de bonne réponse à cette question, c’est simplement une question de choix.
Par contre, je sais que peu importe ta décision, si tu es dans tes premières années d’entreprise, tu vas sans doute culpabiliser.
Bah oui, la norme c’est de décrocher. Je veux dire : tout le monde dit ça.
Et si tu ne le fais pas, alors tu ne passes pas pour une maniaque obsédée par son travail.
Mais en même temps, t’as un tas de trucs que tu aimerais faire avancer dans tes projets du coup, comment te sortir de ce conflit ?
Si tu te reconnais dans cette situation alors tu vas adorer l’inspiration d’aujourd’hui.
Dans cette capsule, je réponds à la question d’une ReBelle Créative qui me demandait : comment mettre un terme à la culpabilité de ne pas travailler ? Alors clique sur la vidéo en dessous et découvre comment je m’y suis pris pour mettre fin à la culpabilité de ne pas travailler.
Maintenant à toi, dans les commentaires dis-nous :
Et toi, quelles sont tes règles pour amener l’harmonie entre ton travail et les autres aspects de ta vie ?
Laisse un commentaire.
Avec amour,
Henriette
Bonjour Henriette ! Alors de mon côté, je privilégie 1h par soir pour dîner en famille. C’est un moment où tout le monde raconte sa journée. Je privilégie aussi le dimanche pour mon amoureux. Et enfin, je pars en vacances au mois d’août. Je ne travaille pas du tout pendant au moins 3 semaines, si possible le mois entier. Le reste du temps je travaille, même parfois tard le soir quand les enfants sont couchés. Bisous !
Hello Aurélie ! C’est une joie de te lire. Merci de nous partager ton organisation, c’est inspirant 🙂
Bonjour Henriette,
J’adore ce sujet ! Je ne suis pas encore libérer de la culpabilité ! J’ai relativisé et accepté d’être à mon compte et que mon travail était vraiment très intense au printemps et été, et naturellement moins important en automne et reprend en hiver. Je me suis rendu compte que sachant que mon travail est lié avec la nature, que je devais vraiment l’écouter et ressentir les saisons qui m’aident pour tenir le coup durant la forte période d’activité. J’ai accepté cela, en revanche, je culpabilise encore sur le fait que mon corps ne suit pas . Je souhaiterais être plus forte physiquement, mais, je n’y arrive pas, je suis dans un secteur où j’utilise beaucoup mon corps et malheureusement, je n’arrive pas être à la hauteur. Et là, je n’arrive pas : je culpabilise sur le fait que mon mari doit compenser encore plus quand je suis en arrêt. GGRRRR cette culpabilité, alors j’ai accepté le fait de moins travailler physiquement et de compenser sur d’autres aspects de notre entreprise, mais les rôles et les répartitions sont en trains de se mettre en place, et je dois me retrouver dans cela ! Pas facile !!!!
Anne tu es géniale ! Merci de nous partager ton expérience 😉