Qu’est-ce qui compte le plus pour toi : ta vie professionnelle ou ta vie personnelle ?

 

La plupart des femmes entrepreneures répondent sans hésiter à cette question.

Le plus important pour elles, c’est l’équilibre entre les deux.

 

Toi aussi, tu veux pouvoir passer des moments de qualité avec tes proches, avoir du temps pour tes loisirs et tout ce que tu aimes ?

Pour ça, il faut que ton entreprise fonctionne bien, avec des revenus réguliers, sans stress et sans surcharge de travail.

 

Oui, cet équilibre, on en rêve toutes.

Et puis il y a la réalité.

 

En général, ça se passe en deux temps.

Tu commences avec peu de clients, donc beaucoup de temps libre mais peu de revenus.

 

Puis tes efforts paient.

Là, tu te retrouves submergée de travail : création de contenu, ventes, gestion des clients, service après-vente…

Comme tu fais tout entièrement seule, tu as la tête sous l’eau.

 

Cette situation, je la connais bien, très bien même.

Parce que je l’ai rencontrée à plusieurs étapes de la vie de mon entreprise.

 

Sans légèreté, tu vas vite perdre l’envie et l’enthousiasme qui te portaient à tes débuts.

Le stress, la charge mentale, la pression… tout ça va forcément peser sur tes résultats.

Parce qu’un chemin malheureux ne mène pas à une destination heureuse.

 

Alors garde bien en tête ces 3 étapes essentielles pour retrouver ton équilibre et ta légèreté :

 

  1. Fais-toi passer en premier
  2. Vois grand
  3. Fais aujourd’hui le travail pour demain

 

Tu sais, être une femme entrepreneure ne veut pas dire que tu dois tout gérer par toi-même et devenir esclave de ton travail.

Bien au contraire.

 

 

 

N’oublie jamais : ton bien-être passe avant tout.

 

Alors j’ai fait une vidéo qui te donne mes 3 étapes pour retrouver l’équilibre entre ta vie personnelle et ta vie professionnelle.

Clique sur la vidéo pour la regarder.

À présent, dis-moi : Comment fais-tu pour trouver l’équilibre entre ta vie personnelle et professionnelle ?

 

Dis-moi ça en commentaire qu’on discute 🙂

 

Avec un océan d’amour,

Henriette